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Bien qu’encore méconnue des principaux circuits touristiques africains, la République du Congo dispose pourtant d’atouts indéniables pour satisfaire différents types de découvertes pour les visiteurs étrangers, ainsi que pour les Congolais eux-mêmes.
En premier lieu, son impressionnante richesse naturelle concentre sur son territoire à la fois des espaces forestiers tropicaux, des savanes arborées, des montagnes et hauts plateaux, une façade maritime longue de 170 kilomètres de plages et un rivage sur le fleuve Congo, le second plus long d’Afrique et le second débit au monde. Sa biodiversité permet également aux visiteurs d’observer la plupart des grands mammifères africains comme les lions, les gorilles et les éléphants, ainsi que les baleines lors de leur migration annuelle. Maintenus dans des environnements protégés, ils sont visibles à la fois dans les parcs nationaux mais aussi, lors de rencontres inattendues au cours de déplacements à l’intérieur du pays.
Le pays est riche d’une longue histoire et d’un patrimoine culturel qui le relie à tous les grands événements ayant contribué à façonner l’Afrique d’aujourd’hui. Il propose ainsi à ceux qui le souhaitent la visite de vestiges précoloniaux, le site mémoriel dédié au souvenir de l’esclavage à Loango, un patrimoine colonial bien préservé, dont l’emblématique Basilique Sainte-Anne-du-Congo de Brazzaville ainsi que la gare ferroviaire de Pointe-Noire directement inspirée de celle de Deauville en France, et une architecture africaine moderne dans les grands centres urbains.
La République du Congo a par ailleurs su préserver son authenticité en lançant, dès les années soixante, un programme d’espaces protégés qui a permis la préservation de son environnement, de son écosystème et de sa biodiversité et sur laquelle se construit progressivement aujourd’hui l’offre d’écotourisme en plein développement dans le pays.
Le Congo abrite pour finir, de vastes forêts tropicales, des parcs nationaux et des réserves fauniques, notamment le parc national de Nouabalé-Ndoki et le parc national d’Odzala-Kokoua. La beauté naturelle et la biodiversité du pays offrent des possibilités d’écotourisme durable, attirant les passionnés de la nature et contribuant aux efforts de conservation.
Bien qu’encore méconnue des principaux circuits touristiques africains, la République du Congo dispose pourtant d’atouts indéniables pour satisfaire différents types de découvertes pour les visiteurs étrangers, ainsi que pour les Congolais eux-mêmes.
La culture congolaise, par sa musique, en premier lieu la rumba, ses phénomènes sociaux comme la SAPE, sa littérature et sa gastronomie ont conservé toute leur vitalité, malgré les inévitables influences extérieures. Ces variétés culturelles garantissent un dépaysement total pour le touriste qui découvrirait le pays.
L’hospitalité dont font preuve les Congolais classe le pays comme sûr pour les visiteurs, y compris les touristes solitaires qui peuvent se prêter volontiers à des activités inédites sur le thème de l’aventure et l’exploration. Les visiteurs peuvent, par exemple, à côté de la richesse des parcs nationaux, parcourir des circuits de randonnées et de treks sur plusieurs jours, à la recherche de cascades, de sommets ou d’animaux sauvages.
Le Congo c’est aussi le pays où se pratique la pêche sportive sur l’Atlantique mais aussi et particulièrement sur le fleuve Congo et la rivière Maï-Pili. Ces cours d’eau qui abritent une espèce endémique emblématique : le Mbenga ou poisson-tigre Goliath. Le surf sur les plages de Pointe-Noire et des environs, ainsi que les sports nautiques au Congo font aussi partie des incontournables du pays.
Avec des infrastructures encore en développement, le Congo connaît, depuis quelques années, une croissance régulière du nombre de touristes enregistrés par an. Cela laisse entrevoir, au vu de son potentiel, des capacités de croissance manifestes.
Bien qu’encore méconnue des principaux circuits touristiques africains, la République du Congo dispose pourtant d’atouts indéniables pour satisfaire différents types de découvertes pour les visiteurs étrangers, ainsi que pour les Congolais eux-mêmes.
La tenue des Jeux de la Francophonie en 2015 fut unanimement reconnue par les participants comme un grand succès en matière d’accueil, d’organisation et d’infrastructures. En effet, la République du Congo dispose d’ores et déjà d’infrastructures sportives lui permettant d’accueillir de grandes compétitions dans ce domaine. Le Stade Alphonse-Massamba-Débat, situé dans la capitale Brazzaville, principal stade du pays, par exemple, peut accueillir environ 33 000 spectateurs. De son côté, le Complexe sportif la Concorde situé à Kintélé, à proximité de Brazzaville est une infrastructure de premier ordre pour les sports et les loisirs. Il comprend un stade olympique d’une capacité de 60 000 places, des terrains de football, d’handball, de tennis, des piscines, des pistes d’athlétisme, des salles de sport et bien plus encore.
Cette volonté de développement des infrastructures d’accueil s’inscrit dans la tradition d’hospitalité de la population congolaise, mais également dans la vision politique de la République du Congo qui souhaite promouvoir la coopération et proposer des solutions panafricaines aux enjeux africains. Ces infrastructures peuvent, en effet, être utilisées, par exemple, pour la préparation d’événements sportifs sur le continent, du tourisme d’affaires ou des séminaires de formations et de renforcement des capacités.
Le pays est en effet la terre d’accueil de nombreux festivals et événements internationaux, au premier rang desquels le Festival Panafricain de Musique (FESPAM) soutenu par l’Union Africaine et réunissant les plus grands artistes du continent à Brazzaville. En 2023, s’est tenue la onzième édition, sur le thème de la rumba afin de célébrer son inscription au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO. Combinant concerts, spectacles de danse, colloques scientifiques et rencontres entre professionnels du monde de la musique, chaque édition a pu réunir jusqu’à 70 spectacles et événements ouverts au public dans différents lieux de la ville.
Dans cette même logique, la République du Congo continue à se doter des capacités d’hébergement et d’échanges afin d’accompagner ses objectifs de développement et attirer les partenaires internationaux désireux de participer à l’émergence de cette terre d’opportunités.
Résolument tournée vers une architecture d’accueil moderne et respectueuse des plus haut standards environnementaux et internationaux, la République du Congo a lancé, avec un partenaire international, la construction d’un centre d’accueil moderne à Brazzaville : les Tours-Jumelles de Mpila. Ces tours accueilleront un smart building composé d’un centre commercial moderne de plus de 135,80 m de hauteur et deux tours identiques de trente étages chacune. La première tour abrite un hôtel 5 étoiles, d’une capacité d’accueil de 349 chambres tandis que la seconde accueille un centre d’affaires et de bureaux.
La République du Congo a par ailleurs su préserver son authenticité en lançant, dès les années soixante, un programme d’espaces protégés qui a permis la préservation de son environnement, de son écosystème et de sa biodiversité et sur laquelle se construit progressivement aujourd’hui l’offre d’écotourisme en plein développement dans le pays.
